Trois partis tiennent ici le haut du pavé : l’Union pour la République (UPR), l’Alliance populaire progressiste (APP) et un peu Tawaçoul. Mais la bataille, la vraie, est celle qui est livrée pour la Mairie de Zouérate. Celle qui voit l’UPR et l’APP s’affronter dans un combat épique qui se fait quand même dans les règles de l’art de la tolérance et du respect.
Le candidat UPR est Cheikh Ould Baya, colonel à la retraite, ancien directeur de la Surveillance maritime, véritable artisan des accords de pêche célébrés récemment pour ce qu’ils permettent de profits à la Mauritanie.
Ould Baya a avec lui une aura d’organisateur déterminé, d’engagé volontaire et généreux (au sens noble du terme), d’homme moderne… Il se présente comme celui qui peut et veut entreprendre de grandes choses pour la ville où il mène des actions de bienfaisances depuis quelques années. En termes de projets sociaux, culturels, sportifs. Il veut (et peut) mettre à profit ses réseaux d’amitiés à travers le monde pour diversifier le partenariat avec les pays qui voudront bien apporter une aide à une région sinistrée quand même par l’enclavement, la faiblesse de l’impact de l’exploitation minière sur le bien-être de la population, le manque d’intérêt public pour cette région de l’extrême Nord et qui se trouve loin du centre de décision.
Ould Baya a contre lui son franc-parler et son refus de faire des promesses qu’il juge hors de portée. Il a contre lui sa spontanéité dans les rapports et l’absence chez lui de compromis avec la médiocrité et le faux.
Le niveau des habitants de la ville minière – cadres et populations conscientes – a amené Ould Baya à définir son programme dans le cadre d’un «Projet pour Zouérate» qui est une vision d’ensemble pour une proposition qui cultive un développement durable et solidaire de la commune. C’est ce Projet qu’il a commencé à expliquer depuis hier, depuis le lancement de campagne. Visiblement très attendues, ses sorties publiques font l’objet d’un grand engouement du public.
Le candidat UPR est Cheikh Ould Baya, colonel à la retraite, ancien directeur de la Surveillance maritime, véritable artisan des accords de pêche célébrés récemment pour ce qu’ils permettent de profits à la Mauritanie.
Ould Baya a avec lui une aura d’organisateur déterminé, d’engagé volontaire et généreux (au sens noble du terme), d’homme moderne… Il se présente comme celui qui peut et veut entreprendre de grandes choses pour la ville où il mène des actions de bienfaisances depuis quelques années. En termes de projets sociaux, culturels, sportifs. Il veut (et peut) mettre à profit ses réseaux d’amitiés à travers le monde pour diversifier le partenariat avec les pays qui voudront bien apporter une aide à une région sinistrée quand même par l’enclavement, la faiblesse de l’impact de l’exploitation minière sur le bien-être de la population, le manque d’intérêt public pour cette région de l’extrême Nord et qui se trouve loin du centre de décision.
Ould Baya a contre lui son franc-parler et son refus de faire des promesses qu’il juge hors de portée. Il a contre lui sa spontanéité dans les rapports et l’absence chez lui de compromis avec la médiocrité et le faux.
Le niveau des habitants de la ville minière – cadres et populations conscientes – a amené Ould Baya à définir son programme dans le cadre d’un «Projet pour Zouérate» qui est une vision d’ensemble pour une proposition qui cultive un développement durable et solidaire de la commune. C’est ce Projet qu’il a commencé à expliquer depuis hier, depuis le lancement de campagne. Visiblement très attendues, ses sorties publiques font l’objet d’un grand engouement du public.
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