Entre l’Occident et l’Iran, les choses semblent aller dans le bon sens. Depuis quelques mois, nous assistons à un revirement de la politique américaine vis-à-vis de l’Iran. Depuis, en fait l’élection de Hassan Rohani à la tête de la République islamique. Ce revirement n’est pas du goût de tout le monde.
D’abord Israël qui ne voit d’autre approche que celle qui vise à détruire l’Iran sous prétexte que le pays développe un programme nucléaire «dangereux pour la région». Jusqu’à présent l’Etat hébreux réussit à faire oublier sa bombe atomique et tout son arsenal nucléaire et chimique en braquant le regard sur les menaces qui pèseraient sur lui et donc sur le Monde à partir des pays arabo-musulmans. L’Iraq, la Libye, la Syrie… tous sont passés par le banc des accusés. Tous ont subi pressions puis destruction pour avoir tenté de s’approprier une technologie moderne.
L’Arabie Saoudite et les pays du Golf en général qui tous voudraient affaiblir l’Iran en ce moment. Parce qu’ils y voient une menace à la stabilité de leurs régimes et à la pérennité de leurs systèmes. D’où la volonté de cultiver les ressentiments communautaires entre Shiites et Sunnites pour les opposer dans une guerre fratricide qui fera de ces pays le porte-drapeau du Sunnisme contre un Shiisme entreprenant et révolutionnaire.
Avant d’aller à Genève pour participer au dialogue entre l’Iran et l’Occident, le Secrétaire d’Etat américain a dû passer par l’Arabie et Israël. Rien à faire, les Etats-Unis étaient décidés à participer à ces négociations et à saisir l’opportunité ainsi ouverte de régler les contentieux par le dialogue et sans recours à la force. Malgré les vociférations de ses alliés dans la région.
C’est apparemment à la France que devait revenir le rôle de «perturbateur». L’arrivée de Laurent Fabius, le ministre français des affaires étrangères, à Genève a signifié immédiatement la remise en cause de l’accord qui était pourtant sur le point d’être conclu. C’est d’ailleurs lui qui annoncera le premier, avant qui de droit (les négociateurs des deux parties), l’échec de ce round. Même si l’optimisme reste de mise, il va falloir aux deux parties vaincre les tentatives françaises et les manipulations israéliennes et arabes visant à faire échouer le dialogue entre l’Iran et l’Occident.
Le jeu n’échappe heureusement pas aux diplomates anglo-saxons qui commentent en aparté : «Les Américains, l’Union européenne et les Iraniens travaillent intensivement depuis des mois sur ce processus et il ne s’agit rien de plus que d’une tentative de Fabius de se donner une importance tardivement». En réalité, Laurent Fabius sert une politique intéressée et fortement inspirée par les positions d’Israël, du Qatar et de l’Arabie Saoudite. Comme pour la Libye, la Syrie…
D’abord Israël qui ne voit d’autre approche que celle qui vise à détruire l’Iran sous prétexte que le pays développe un programme nucléaire «dangereux pour la région». Jusqu’à présent l’Etat hébreux réussit à faire oublier sa bombe atomique et tout son arsenal nucléaire et chimique en braquant le regard sur les menaces qui pèseraient sur lui et donc sur le Monde à partir des pays arabo-musulmans. L’Iraq, la Libye, la Syrie… tous sont passés par le banc des accusés. Tous ont subi pressions puis destruction pour avoir tenté de s’approprier une technologie moderne.
L’Arabie Saoudite et les pays du Golf en général qui tous voudraient affaiblir l’Iran en ce moment. Parce qu’ils y voient une menace à la stabilité de leurs régimes et à la pérennité de leurs systèmes. D’où la volonté de cultiver les ressentiments communautaires entre Shiites et Sunnites pour les opposer dans une guerre fratricide qui fera de ces pays le porte-drapeau du Sunnisme contre un Shiisme entreprenant et révolutionnaire.
Avant d’aller à Genève pour participer au dialogue entre l’Iran et l’Occident, le Secrétaire d’Etat américain a dû passer par l’Arabie et Israël. Rien à faire, les Etats-Unis étaient décidés à participer à ces négociations et à saisir l’opportunité ainsi ouverte de régler les contentieux par le dialogue et sans recours à la force. Malgré les vociférations de ses alliés dans la région.
C’est apparemment à la France que devait revenir le rôle de «perturbateur». L’arrivée de Laurent Fabius, le ministre français des affaires étrangères, à Genève a signifié immédiatement la remise en cause de l’accord qui était pourtant sur le point d’être conclu. C’est d’ailleurs lui qui annoncera le premier, avant qui de droit (les négociateurs des deux parties), l’échec de ce round. Même si l’optimisme reste de mise, il va falloir aux deux parties vaincre les tentatives françaises et les manipulations israéliennes et arabes visant à faire échouer le dialogue entre l’Iran et l’Occident.
Le jeu n’échappe heureusement pas aux diplomates anglo-saxons qui commentent en aparté : «Les Américains, l’Union européenne et les Iraniens travaillent intensivement depuis des mois sur ce processus et il ne s’agit rien de plus que d’une tentative de Fabius de se donner une importance tardivement». En réalité, Laurent Fabius sert une politique intéressée et fortement inspirée par les positions d’Israël, du Qatar et de l’Arabie Saoudite. Comme pour la Libye, la Syrie…